Étymologie
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Lettrage Séparation automatique
Lettres : 13 | T | ‧-‧ | e |
Voyelles (3) | Th | ‧‧-‧‧ | se |
a,e,o | Thoram | —|— | e-Basse |
Consonnes (10) | Thor | –|— | ame-Basse |
T,h,r,m,-,B,s,s | Thorame-B | —|– | asse |
Division Analyse intelligente
Composé de Thorame et Basse
Basse : Basse
Thorame
Thor- | -me | |
Tho-, Th- | -e |
Basse : Basse
De Thorame, et basse (par opposition à Thorame-Haute).
Le nom de civitas Eturamina (cité d’Eturamina), cité en 442, est formé sur la racine préceltique *etur, et d’un suffixe préceltique, tous deux d’origine et de sens inconnus (Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, Genève : Librairie Droz, 1990. Volume I : Formations préceltiques, celtiques, romanes. Notice 1188, p 57), qu’il est possible de rapprocher d’Etruria. Charles Rostaing, dans son Essai sur la toponymie de la Provence (1950), donne une autre explication.
Une autre hypothèse lui assigne comme origine Turris (racine celto-ligure) Amaéna (racine latine) littéralement « tour agréable », provenant sans doute à la fois de la position administrative romaine de Thorame, et de son site agréable : vallée perpendiculaire au Verdon, orientée est-ouest, son ensoleillement et la qualité du sol. Le terme de turris ne désigne pas seulement la tour au sens ou nous l’entendons aujourd'hui, mais plus généralement un lieu urbanisé pouvant remplir différentes fonctions.
Le nom devient Toramena (1109) ou Thoramena. Sur plusieurs cartes datant du XVIIe siècle, il est mentionné Thoramenes.